Inutile d'avoir trop de craintes envers les festivaliés et les pauvres smicards de la faune monégasque. Je doute qu'ils aillent se perdre dans l'arrière pays niçois. Ils préféreront sans doute se montrer et parader le long de la côte et au milieu de la foule.
À trop s'écouter, le moindre événement ou fait météorologique nous empêcherait de faire quelque chose. À ce rythme là on attend toujours encore et encore et on finit par ne jamais rien faire.
De plus, ce n'est pas parce qu’on possède une voiture plaisir qu'on doit se croire le couteau entre les dents dès qu'on en prend le volant. On ne joue pas le chrono, nous ne sommes pas en spéciale et on ne se prétend pas pilote.
Je vais passer pour un râleur mais une fois encore, nous sommes là pour nous balader ensemble, se retrouver, profiter des paysages et nul besoin d'être à la limite à chaque portion de bitume pour se faire plaisir.
Des cyclistes, aussi pénibles soient-ils, ça se gère avec prudence. Le plus ennuyeux restant les campings-car et autres caravanistes! Croisons les doigts de ne pas trop en rencontrer.
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